mercredi 24 mars 2010

Prochaine publication

"TOUT CONTE FAIT, ou la perte des racines" est désormais disponible sur Amazon.fr.
Il suffit d'indiquer le titre ou l'auteur "Alain Bonet i Juan" dans la fenêtre de recherche.
Il peut être commandé aussi dans les librairies les plus proches en indiquant le nom de l'Éditeur : BÉNÉVENT, ou du distributeur : DAUDIN.
LE LIVRE EST DISPONIBLE AUSSI POUR LES VALENCIENS, À :
EURO LLIBRES
LIBRERIA ESPECIALIZADA EN IDIOMAS
C/ DR. OLORIZ, 5 (Junto a la Escuela Oficial Idiomas)
46009 - VALENCIA
TELEFONO: 963524461 - FAX: 963526258 - Email: eurollibres@eurollibres.com
Alain Bonet i Juan

7 commentaires:

  1. C'est grâce à Claudette que j'ai eu connaissance de la publication de "Tout conte fait", que j'ai lu avec beaucoup d'interêt. L'auteur me permettra faire quelques commentaires : L'entrée dans le livre par la fin tragique de Paul, Isaac et Rachel, donne la mesure. L'excellent récit de ce chapitre nous introduit dans la barbarie de la guerre d'Alger que yo había contemplado siempre desde el único aspecto del éxodo de los pied-noirs hacia España y, sobre todo,hacia Francia; entre el "je vous ai compris" de De Gaulle y la guitarra de Enrico Macias.
    De lo que había ocurrido "in situ", yo no sabía nada.J'arrivais à Paris en 1962 et j'entendais parler de l'Algerie sans bien comprendre la portée du problème.
    Este libro me ha encogido el corazón. Me ha mantenido en halleine dès le début jusqu'à la fin, car c'est le côté dramatique qui mà frappé le plus vu je ne m'y attendais pas.
    Mais j'ai suivi aussi avec beaucoup d'intérêt les péripéties des personnages que le Destin réunisait pas à pas dans l'arbre généalogique de l`'auteur.
    L'Algérie n'est pas que le scenario . Elle est dans le sang des protagonistes , devenus des algerois et fiers d'être pied-noirs. Le texte transpire honnêteté;l'auteur nous raconte tout ce qu'il voit autour de lui tel qu'il voit avec ses yeux d'enfant.Sa vis littéraire apparait aussi bien dans les récits sombres et dramatiques, que dans ceux où l'Alain adolescent parle de ses souvenirs d'école, de ses smis, de sa communion ( ah, Mathilde et l'abbé!!),de sa découverte de l'amour...Là, l'air est plus détendu, avec l'innocence, la noblesse des coeurs, et une certaine critique non dépourvue d'humour envers les gestes des adultes.
    On ne peut pas lire ce livre sans se sentir
    ému par les faits décrits et sans sentir du respect, de la tendresse et même de la solidarité envers les personnages dont Alain nos parle avec son style très inspiré.
    Bravo, Alain.
    Angel Castro Oliver.

    RépondreSupprimer
  2. C'est avec une grande émotion que j'ai ouvert la 1ère page de ton livre qui raconte une histoire poignante et réaliste de la vie à Saint Denis de Sig ; c'est un style balzacien riche en couleurs et en événements qui se déroule tel un tapis de velours hérissés d'épines qui vous écorchent le coeur .

    RépondreSupprimer
  3. Chers amis,

    Je vous recommande cet ouvrage que j'ai dévoré en une journée.
    Ce livre est un témoignage poignant de souvenirs personnels et de l'histoire des valenciens et par extension des espagnols d'Algérie.
    J'ai vraiment beaucoup aimé et j'ai encore appris des choses sur cette page d'histoire bien souvent méconnue.
    Si vous ne pouvez vous rendre aux dédicaces, contactez-moi et je vous communiquerai les coordonnées d'Alain, qui, je suis sûre, ce fera un plaisir de vous dédicacer un ouvrage.

    Bises
    Marie-Anne

    RépondreSupprimer
  4. Merci, un seul regret, j' aurais aimé
    poursuivre la lecture de ce livre quelques pages de plus...mais c'est bon signe paraît-il de rester sur sa faim.
    On croit toujours connaître l' histoire des déracinés d'Algérie, mais chaque histoire est unique et bon nombre de pieds noirs s'y retrouverons et pourrons en faire la leur..mais racontée par toi
    Bravo
    Jacques Bohbot

    RépondreSupprimer
  5. Pour ce livre émouvant, gai et triste mais surtout pour cet hommage rendu à tout ces européens et musulmanns confondus, qui ont essayé d´être heureux ensembles.Pour ce livre qui rappelle les péripéties de mes ancêtres sur cette terre qui nous a marqué à jamais. Je vous félicite.
    Gérard

    RépondreSupprimer
  6. Jeanick Gaffier4 avril 2011 à 07:07

    Je me suis plongée dans le livre d’Alain. TRES BIEN ECRIT EMOUVANT VERIDIQUE on ressent le coeur au bout du stylo... (même si c’est l’ordinateur) on ressent que ces lignes sont aussi un exutoire de douleurs, de joies, de peines mais aussi de vie qui a continué qui continue bref j’ai beaucoup beaucoup beaucoup aimé.

    Je n’ai pas pu lire...... je n’ai pas pu.... je ne pouvais pas suivre avec Alain les moments décrits dans la maison de retraite. C’était pour moi des moments tellement forts tellement empreints de douleur des moments vécus.... que je n’ai pas lu.... que je ne lirai pas un peu comme une fuite, un peu aussi peut-être par lâcheté sans doute mais des moments tellement présents.... que...

    donc j’ai continué mon voyage dans le temps.... en me disant aussi que mon Papa avait vécu un peu ce genre de vie puisqu’il est né à Cheragas et qu’il est rentré en France lorsqu’il avait 12 ans (mon grand père était chef de gendarmerie). C’était aussi un peu comme un pélerinage de moments et de lieux que je ne connais pas et que je ne connaîtrais jamais.

    Je ne suis pas sortie indemne de la lecture de ton livre Alain.

    Et on sentait aussi à chaque virgule la présence affectueuse de Niquette près de toi même avant de te connaître et qui t’a permis de continuer de l’avant

    Merci, merci à tous les deux.

    RépondreSupprimer
  7. Tout conte fait es sólo parte de la historia de cuatro generaciones de emigrantes de la Vega Baja en Argelia. Pied noirs españoles arrancados de su tierra y luego franceses por derecho de nacimiento. Dicho así podría parecer una autobiografía más de las que engrosan la sección de oportunidades de las librerías. Ni siquiera es un "novelón", una de esas sagas familiares que podrían llenar miles de páginas. Tout conte fait carece de pretensiones épicas y su estructura la forma, como si de una exposición se tratase, una sencilla succesión de cuadros no necesariamente cronológicos que se extienden a lo largo de tres siglos. Desde el bisabuelo que, huyendo de la miseria y del servicio militar en las colonias españolas, reúne como puede el dinero que le cuesta el pasaje a Orán hasta el amigo de juventud felizmente recuperado casi ayer mismo. Una peculiaridad tiene este libro y ese algo que lo hace diferente es la implicación, la honestidad personal con la que su autor expone sus vivencias, a veces las más dolorosas y ello sin resentimiento alguno. Porque es cierto que no hay mucha diferencia entre la bomba de la OAS que mata árabes en Bab el Oued y la bomba del FLN que mata europeos en un barrio residencial de Argel.

    La historia oficial de los Pied noirs argelinos, de la mayoría de ellos, termina bruscamente en la primavera de 1962. A renglón seguido de la firma de los acuerdos de Evian, un millón de personas abarrotó durante escasos meses puertos y aeropuertos para conseguir un pasaje que les condujese a la metrópoli. Algunos pudieron liquidar sus propiedades y marchar ordenadamente; muchos otros se fueron con lo puesto, confiando en futuros planes de "integración" del Gobierno. No pocos de ellos pisaban Francia por primera vez. Atrás quedaban las gentes, los lugares, los recuerdos de toda una vida. Algunas de estas personas experimentaban por segunda vez el castigo del exilio: los republicanos españoles, por ejemplo, que habían llegado a Argelia a través de Francia, después de 1939.

    El exilio de Alain comenzó un día de julio de 1962, en una terminal de aeropuerto colapsada por miles de modernos refugiados, casi tirando de sus atemorizadas hermanas menores. Fue a bordo de un Caravelle que le llevaba a Francia donde entendió que no iba de vacaciones. No regresó hasta pasados 10 años, y para entonces el mundo que le era familiar ya no estaba.

    El balneario de Arzew, ma Thébaïde, el cuchitril de Perrigaux existirán mientras alguien sea capaz de recordarlos y muy especialmente, de sentir su pérdida como un íntimo drama personal. Luego dejarán de existir para siempre y serán sólo una historia más.

    RépondreSupprimer

Laissez vos commentaires SVP